Il s’agit en réalité d’une deuxième version, j’ai travaillé pendant un moment avec un prototype et voici donc la version définitive.
La télécommande est utilisée pour envoyer des commandes de déplacement vers le logiciel de contrôle de la CNC. C’est en fait un clavier USB qui envoie des frappes de touches au logiciel, qui doit donc être au préalable configuré pour accepter les combinaisons de touches en question.

Voici mon dispositif de pressage sous vide :

Quand on possède une presse à bois telle que celle-ci :

J’ai depuis un moment installé une butée à griffe escamotable en bout de mon établi (voir images ci dessous).

Voici un rabot à racler en métal, réalisé sur la base d’un rabot standard de type Stanley No4.

Il existe bien des sortes de poussoirs pour la scie circulaire, mais on a vu apparaître outre atlantique un nouveau modèle qui apporte une innovation certaine dans ce domaine, c’est le GRR-Ripper de Micro Jig. 

Voici un charriot à tenoner pour scie circulaire.

Voici une wastringue de ma fabrication.

Voici un outil peu commun, conçu à l’origine pour la facture instrumentale, mais qui peut tout aussi bien être utilisé pour d’autres applications de travail précis du bois.

Un outil qui permet de calibrer avec précision en épaisseur. Il est utilisé le plus souvent pour régler les outils possédant une butée de profondeur comme la perceuse à colonne ou le poinçon d’épaisseur.

L’outil que je vous présente ici est à créditer à Rick Sparber, qui en a publié l’idée sur le forum [homemadetools.net](http://www.homemadetools.net/forum/self-centering- scribe-8482).

Voici une plateforme permettant d’immobiliser un panneau de n’importe quelle forme sur l’établi, de manière à pouvoir le travailler, sous n’importe quel angle.

Voici une manière simple pour fabriquer un ciseau permettant de creuser la gorge destinée à recevoir des filets.

Voici deux idées de poussoirs, pièces indispensables pour toujours garder les mains éloignées des lames de scie à ruban ou de scie circulaire.

Les bois fortement figurés comme l’érable ondé ou les loupes sont très difficiles à travailler.

Voici une série de petits rabots noisette que j’ai fait en suivant ce tutoriel.

Pour sculpter l’ébauche d’une table ou d’un fond de violon, ou de tout autre instrument “archtop” comme la mandoline ou la guitare jazz, il existe plusieurs méthodes possibles. Les plus pressés ou amateurs d’outils électriques pourront utiliser la défonceuse, mais les amateur de véritables sensations “bois” préféreront la gouge.

Le trusquin à filets est un outil qui permet de marquer et creuser la fine gorge qui recevra les filets sur une table ou un dos de violon, ainsi que sur le bord des tables et fonds d’instruments tels que la guitare ou la mandoline. L’outil permet de tracer cette gorge de manière parallèle au bord de la table ou du fond.

La plupart des modèles sérieux de scie à ruban possède une jauge de tension de lame permettant d’ajuster visuellement
la tension de la lame, en fonction de sa largeur :

Une astuce toute simple qui rend bien des services : on peut transformer aisément un calculette convertisseuse de devises en calculette convertisseuse pouces / millimètres :

La calibreuse est l’une des machines les plus utiles au luthier. Il s’agit d’une ponceuse à rouleau relativement puissante qui permet de poncer des pièces fines sur l’épaisseur, sur de grandes largeur.

Bien souvent, la casse d’une lame de scie à ruban à ressentie comme une fatalité qui entraîne le remplacement de la lame.

Il est conseillé de détendre la lame d’une scie à ruban lorsque celle-ci n’est pas utilisée.
Il existe cependant un risque important d’oublier que cette lame et détendue et un démarrage lame détendue peut entraîner des dommages aux garnitures des volants, voir à la lame, et par conséquent peut entraîner un risque pour la sécurité de l’utilisateur.

La cale à radius est un outil indispensable pour réaliser une touche bombée d’instrument à cordes.

On est bien souvent tenté d’utiliser son étau de mécanicien pour travailler un morceau de bois, c’est d’ailleurs l’étau le plus courant que l’on trouve dans tous les ateliers.

Refendre une planche, souvent de valeur s’il s’agit de lutherie, dans l’épaisseur n’est jamais facile et les scies à ruban sont bien souvent capricieuses pour ce qui est de scier droit le long d’un guide parallèle.

Lorsque l’on réalise une belle pièce d’ornement, et qu’on est fier de son travail, on est naturellement porté à vouloir signer son oeuvre.
J’ai pour ma part fabriqué ma propre estampille, qui me permet de signer de la même manière, toutes mes pièces, dans un endroit discret.

Voici un étau un peu particulier qui est très prisé des luthiers et sculpteurs :

On trouve dans le commerce un modèle bien connu de jauge de ce type qui pemet de mesurer la hauteur des cordes par rapport aux frettes.
On mesure en général à la première frette, à la douxième, etc … et la hauteur souhaîtée sera suivant la préférence du musicien et les specs de l’instrument.

Klemmsia »